
- A comme AMH - L'existence d'un facteur testiculaire responsable de la régression des canaux de Müller chez le foetus mâle, facteur distinct de la testostérone, avait été postulée dès 1947 par Alfred Jost... (suite)
- D comme DHEA - La DHEA (déhydroépiandrostérone) est connue depuis les années 40 comme un des 17-cétostéroïdes les plus abondants dans l'urine, et sa sécrétion par les glandes stéroïdogènes (surrénales, ovaires, testicules) est attestée depuis les années 50. (suite)
- G comme GnRH -
La GnRH (Gonadotropin Releasing Hormone) ou Gonadolibérine
(nomenclature chimique internationale) ou Gonadoréline (dénomination
de la pharmacopée internationale) est l'hormone hypothalamique
qui commande la sécrétion des gonadotropines hypophysaires. (suite)
- I comme Inhibine - L'inhibine est une vieille hormone puisqu'elle a été inventée en 1932 par McCullagh, qui travaillait, comme l'équipe de Zondek, sur la physiologie des gonadotropines.(suite)
- P comme Prolactine - La caractérisation de la prolactine fut assez laborieuse, car elle a pratiquement la même masse que l'hormone de croissance, et il fut assez difficile de mettre au point un dosage biologique réalisable dans des conditions acceptables. (suite)
- T comme Testostérone - La testostérone est une des premières hormones stéroïdes actives identifiées puisque Laqueur en 1935 en donna la structure et la baptisa en référence à son origine et à la présence d'une fonction cétone sur la molécule (à vrai dire on connaissait déjà l'androstérone, métabolite inactif, qui avait lui deux fonctions cétones, et il est probable qu'il y a eu une contamination sémantique entre elles deux). (suite)
- H comme hCG - L'entrée de la gonadotropine chorionique humaine dans l'histoire de la médecine s'est faite par une porte dérobée. (suite)
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